14 novembre 2011
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Illustration de Juri Hayasaka Chinchilla
J’ai un problème, je vais vous l’exposer
Chaque fois que je coupe le PC
Des tas d’idées viennent me submerger.
Poèmes et pensées à la volée
Impossible de toutes les noter.
C’est maladif chez moi et insensé.
Certaines personnes pourraient penser
Que je n’ai pas envie de les partager.
Mais en fait, c’est tout l’opposé
J’ai tant de choses à énoncer
Qu’en vrac et parfois poussées
Elles s’évadent, je suis éparpillée
Je ne puis mieux vous l’expliquer.
Tel un fantôme abandonné
Qui voyage sans pouvoir parler
Devant vous, je viens me présenter.
Si vous venez naviguer à mes côtés
Garder cela, vous êtes briffés
Je ne puis toujours exprimer
Tout ce défilé de plaies
J’en suis la première frustrée.
Dans cette série de phrases en « é »
Je viens de vous expliquer
Mille choses non verbalisées.
Vous ne pouvez imaginer
A quel point tout peut échapper.
Sans moralité, ni préjugés
Et aucuns codes à respecter,
Je viens de m’épancher.
A cet instant, je viens de couler
Pour résumer un flot de projets
Qui resteront un temps terrés.
Telle une âme damnée,
Dans le flot de ses pensées,
Je m’en vais me reposer,
Espérer puis oublier
Tous ces délires et ces idées.
Je vous souhaite une bonne journée et au plaisir de vous croiser.
Chaque fois que je coupe le PC
Des tas d’idées viennent me submerger.
Poèmes et pensées à la volée
Impossible de toutes les noter.
C’est maladif chez moi et insensé.
Certaines personnes pourraient penser
Que je n’ai pas envie de les partager.
Mais en fait, c’est tout l’opposé
J’ai tant de choses à énoncer
Qu’en vrac et parfois poussées
Elles s’évadent, je suis éparpillée
Je ne puis mieux vous l’expliquer.
Tel un fantôme abandonné
Qui voyage sans pouvoir parler
Devant vous, je viens me présenter.
Si vous venez naviguer à mes côtés
Garder cela, vous êtes briffés
Je ne puis toujours exprimer
Tout ce défilé de plaies
J’en suis la première frustrée.
Dans cette série de phrases en « é »
Je viens de vous expliquer
Mille choses non verbalisées.
Vous ne pouvez imaginer
A quel point tout peut échapper.
Sans moralité, ni préjugés
Et aucuns codes à respecter,
Je viens de m’épancher.
A cet instant, je viens de couler
Pour résumer un flot de projets
Qui resteront un temps terrés.
Telle une âme damnée,
Dans le flot de ses pensées,
Je m’en vais me reposer,
Espérer puis oublier
Tous ces délires et ces idées.
Je vous souhaite une bonne journée et au plaisir de vous croiser.